L’impression 3d qui compte de plus en plus adeptes ne cesse repousser les limites en terme de développement… on connaissait déjà ses capacités à imprimer des objets en plastiques, en métal ou en céramique mais pas encore celle de pouvoir fabriquer notre nourriture.
Comment ça marche ?
En effet, les imprimantes qui fonctionnent par dépôt de fils fondus on su s’adapter à des matières consommables. Pour cela, il a fallu à ses fabricants mettre une seringue à la place de l’extrudeur et créer des cartouches remplies d’ingrédients divers tel que le chocolat, du sucre ou de la pâte d’amande.
Il est même possible avec ce type d’imprimante (comme la Choc Creator) de rentrer dans ses paramètres, des textures, des tailles des saveurs… et même la possibilité d’insérer un message au centre du gâteau par exemple. A l’heure actuelle certains prototypes vont même plus loin et offre la possibilité de choisir le nombre de calories présente dans les cookies que l’on souhaite imprimer, permettant ainsi de créer un aliment sur mesure parfaitement adapter à ses besoins nutritionnels.
Quelle évolution ?
Certains chercheurs voient encore plus loin et voient dans ce genre de fabrication numérique une manière de produire des aliments de grande consommation comme le steack haché, de façon plus nutritive, moins coûteuse et beaucoup plus écologique.
Avec l’impression 3D certains fantasment déjà à l’idée de pouvoir imprimer des biftecks ou des poulets à partir de protéines d’algues ou d’insectes. Malgré les balbutiements et les premiers pas encore un peu hésitant de ce type de fabrication additive, nul doute que celle-ci rejoindra dans les années à venir la qualité d’impression d’autres matériaux plus confirmés tel que le plastique ou la résine.
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